Publié par admin9892 le



TRAVAUX EN PARTENARIAT AVEC L’ORS BRETAGNE

SANTÉ ENVIRONNEMENT 
SantĂ© perçue : Ă©valuation des impacts de la gestion des dĂ©chets 

RAPPORT-SPIDLa production croissante de déchets et leurs divers modes de gestion contribuent aux rejets de substances potentiellement dangereuses qui suscitent de multiples interrogations quant aux risques pour la santé humaine et pour l’environnement. Une meilleure connaissance et acceptation des enjeux pour les citoyens, dans le respect des principes de la santé publique et environnementale, devient un enjeu primordial.  

Le projet SPID (Santé Perçue à proximité d’Installations de traitement des Déchets), financĂ© par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maĂźtrise de l’Ă©nergie) et menĂ© en partenariat avec les ORS d’Alsace et de RhĂŽne-Alpes, ainsi qu’avec la sociĂ©tĂ© Arriva, avait pour objectif de repérer les facteurs de plus ou moins bonne acceptabilité des centres de traitements de déchets, en prenant en compte l’état de santé de la population, l’incidence éventuelle des activités de traitement des déchets, le ressenti des riverains et celui des personnels de santé du territoire et d’autres parties prenantes. Sur chaque site pris en compte, une enquête de type « Santé perçue » a été réalisée auprès des riverains (par questionnaire téléphonique), combinée avec une approche qualitative (entretiens ciblés avec des acteurs locaux) et avec l’exploitation de bases de données disponibles localement pour rĂ©aliser des profils de territoires socio-sanitaires et environnementaux, dont l’un en Bretagne.

Cette étude a permis de formuler des préconisations permettant une meilleure acceptabilité des centres de traitement de déchets. L’approche développée dans SPID pourrait s’appliquer à d’autres centres ou d’autres activités industrielles, installés ou en projet.

TĂ©lĂ©charger le rapport complet et ses annexes

Télécharger le profil de territoire en Bretagne

Télécharger les trois autres profils : Bas-Rhin, Loire, RhÎne

 

PUBLICATION

ÉVALUATION DE POLITIQUE PUBLIQUE
Les politiques de lutte contre les consommations nocives d’alcool

EVALUATIONCette Ă©valuation des politiques de lutte contre les consommations nocives d’alcool, conduite par la Cour des comptes, a consistĂ© Ă  examiner la disponibilitĂ© des donnĂ©es, Ă  analyser les diffĂ©rents paramĂštres qui caractĂ©risent les consommations nocives d’alcool au regard de l’état des connaissances cliniques et Ă©pidĂ©miologiques, Ă  passer en revue les principaux leviers d’action mis en Ć“uvre par les diffĂ©rents acteurs concernĂ©s et relevant de la rĂ©glementation de la distribution du produit et des dĂ©terminants de son prix, de la santĂ© publique, de la sĂ©curitĂ© publique, Ă  en documenter les rĂ©sultats.
Le constat rendu est sĂ©vĂšre pointant une tolĂ©rance diffuse vis-Ă -vis de la consommation de boissons alcoolisĂ©es, dont les effets nĂ©gatifs sont largement sous-estimĂ©s. Le rapport dĂ©plore, plus largement, des politiques mal coordonnĂ©es et ne reposant pas sur des bases solidement Ă©tablies.
En conclusion, la Cour appelle Ă  une prise de conscience collective et propose un cadre d’action au service d’objectifs mieux affirmĂ©s.

Détails et téléchargement

 

PUBLICATION

SANTÉ ENVIRONNEMENT
Impacts de l’exposition chronique aux particules fines sur la mortalitĂ© en France continentale et analyse des gains en santĂ© de plusieurs scĂ©narios de rĂ©duction de la pollution atmosphĂ©rique

Exposition-PMLa pollution de l’air est dĂ©sormais considĂ©rĂ©e comme la premiĂšre cause environnementale de mort prĂ©maturĂ©e dans le monde.
Des rĂ©sultats rĂ©cents d’études de cohortes ont confirmĂ© l’existence d’un risque de dĂ©cĂšs associĂ© Ă  l’exposition chronique aux particules fines (PM2.5) dans la population europĂ©enne et française. Ces nouveaux rĂ©sultats Ă©pidĂ©miologiques ont Ă©tĂ© couplĂ©s Ă  un modĂšle Ă  fine Ă©chelle de modĂ©lisation de la qualitĂ© de l’air pour Ă©valuer l’impact des PM2.5 sur la mortalitĂ© en France continentale, pour la pĂ©riode 2007-2008.
Plus de 48 000 dĂ©cĂšs par an pourraient ĂȘtre attribuĂ©s aux PM2.5, dont plus de la moitiĂ© dans les agglomĂ©rations de plus de 100 000 habitants. Si toutes les communes françaises respectaient la valeur recommandĂ©e par l’Organisation mondiale de la santĂ© (10ÎŒg/m3), ce sont plus de 17 000 dĂ©cĂšs qui pourraient ĂȘtre Ă©vitĂ©s chaque annĂ©e en France. Le gain moyen en espĂ©rance de vie Ă  30 ans serait alors de 4 mois en France, mais pourrait atteindre plus d’un an dans les communes les plus polluĂ©es.
Ces rĂ©sultats confirment que des efforts poursuivant ceux mis en oeuvre jusqu’à prĂ©sent pour amĂ©liorer la qualitĂ© de l’air se traduiraient par une diminution de la mortalitĂ© liĂ©e aux PM2.5.

Télécharger le rapport et la synthÚse

Le document ci-dessous résume les principaux résultats pour la région Bretagne.

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PUBLICATION

SANTÉ ENVIRONNEMENT
Opinions et pratiques environnementales des Français en 2015

Chiffres-statistiquesL’Insee rĂ©alise chaque mois, par tĂ©lĂ©phone, l’enquĂȘte de conjoncture auprĂšs des mĂ©nages (Camme) auprĂšs de 1800 individus environ. Son objectif est de recueillir l’opinion que se font les mĂ©nages, rĂ©sidant en mĂ©tropole, sur la conjoncture Ă©conomique gĂ©nĂ©rale. 
Le dispositif permet Ă©galement, sur un mois donnĂ©, de rajouter un ensemble de questions sur des sujets variables. C’est le cas de la plateforme Environnement rĂ©alisĂ©e chaque annĂ©e au mois de novembre. Sa vocation est de faire des diagnostics conjoncturels sur la maniĂšre dont les individus apprĂ©hendent les enjeux environnementaux gĂ©nĂ©raux, certaines Ă©volutions dans le domaine de la consommation, des dĂ©placements ou de l’habitat et les consĂ©quences sur leurs propres comportements. En 2015, l’amĂ©lioration de la qualitĂ© de l’air est devenue l’un des principaux enjeux environnementaux pour l’opinion publique.

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PUBLICATION

SANTÉ DES ÉTUDIANTS
Les conditions de vie et de santé des étudiants de Rennes en 2014

CONDITIONS-VIE-ETUDIANTSLa mĂ©tropole rennaise s’est rĂ©cemment dotĂ©e d’un observatoire mĂ©tropolitain de l’enseignement supĂ©rieur de la recherche et de la vie Ă©tudiante en raison de l’enjeu que reprĂ©sente l’enseignement supĂ©rieur sur le territoire et de la place qu’occupent les Ă©tudiants localement.
En partenariat avec les Ă©tablissements locaux et les acteurs de la vie Ă©tudiante, l’observatoire s’est intĂ©ressĂ© aux conditions de vie et de santĂ© des Ă©tudiants. Cette enquĂȘte, rĂ©alisĂ©e par une Ă©quipe d’enseignants-chercheurs de l‘EHESP avec l’aide de trois stagiaires, apporte des Ă©lĂ©ments d’analyse pour l’ensemble des acteurs qui agissent en direction de cette population. Cette dĂ©marche vise Ă  disposer d’un outil d’observation locale de la vie Ă©tudiante conformĂ©ment aux objectifs du contrat local de santĂ© de la Ville de Rennes et du SchĂ©ma de dĂ©veloppement universitaire mĂ©tropolitain Ă©laborĂ© en 2013. 

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 PUBLICATION

SANTÉ DES JEUNES
Rapport relatif Ă  l’éducation Ă  la sexualitĂ© : RĂ©pondre aux attentes des jeunes, construire une sociĂ©tĂ© d’égalitĂ© femmes-hommes

RAPPORT-HCELe Haut Conseil Ă  l’EgalitĂ© a remis son rapport relatif Ă  l’Education Ă  la sexualitĂ© : « RĂ©pondre aux attentes des jeunes, construire une sociĂ©tĂ© d’Ă©galitĂ© femmes-hommes ». Il y prĂ©conise un plan d’actions interministĂ©riel en faveur de l’éducation Ă  la sexualitĂ© articulĂ© autour de 30 recommandations et 4 grandes prioritĂ©s : Mieux connaitre et reconnaitre la sexualitĂ© des jeunes. Renforcer de maniĂšre ambitieuse la politique interministĂ©rielle d’éducation Ă  la sexualitĂ©. Organiser, financer, Ă©valuer et renforcer la visibilitĂ© de l’action de l’Education nationale en matiĂšre d’éducation Ă  la sexualitĂ©. Responsabiliser les autres espaces clĂ©s de socialisation des jeunes hors-Ă©cole pour prendre en compte leur parcours de vie.

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À SIGNALER 

ACTIVITÉ PHYSIQUE
Observatoire national de l’activitĂ© physique et de la sĂ©dentaritĂ©

ONAPSSelon l’Organisation Mondiale de la SantĂ©, chaque annĂ©e, la sĂ©dentaritĂ© est Ă  l’origine de 2 millions de dĂ©cĂšs dans le monde. L’inactivitĂ© physique est considĂ©rĂ©e comme la premiĂšre cause de mortalitĂ© Ă©vitable dans le monde, responsable de plus de dĂ©cĂšs que le tabagisme.
Dans ce contexte et afin de disposer d’une connaissance plus fine de l’impact des activitĂ©s physiques sur la santĂ©, l’observatoire national de l’activitĂ© physique et de la sĂ©dentaritĂ© (Onaps), a Ă©tĂ© créé en octobre 2015 Ă  l’initiative du MinistĂšre chargĂ© des sports. Il a pour mission d’évaluer sur le territoire français le niveau d’activitĂ© physique et sportive ainsi que le degrĂ© de sĂ©dentaritĂ©, tant dans la population gĂ©nĂ©rale que dans les populations ciblĂ©es par le plan national sport, santĂ©, bien-ĂȘtre. Il est Ă©galement chargĂ© de recenser l’ensemble des dispositifs spĂ©cifiquement mis en place en France pour promouvoir l’activitĂ© physique et sportive et d’en Ă©valuer leur efficacitĂ©.

Accéder

 

À SIGNALER

SANTÉ ENVIRONNEMENT
Qu’est-ce que la SantĂ© Environnement en Bretagne ?

FILML’’ARS Bretagne a rĂ©alisĂ© un film sur la SantĂ© Environnement en Bretagne. DĂ©coupĂ© en sĂ©quences sous la forme de questions-rĂ©ponses, ce film aborde la dĂ©finition de la santĂ© environnementale, les enjeux, les spĂ©cificitĂ©s bretonnes, des exemples d’actions menĂ©es dans les territoires et le Programme RĂ©gional SantĂ© Environnement (PRSE).
Ce film a vocation Ă  susciter des Ă©changes avec les acteurs de la ConfĂ©rence RĂ©gionale de la SantĂ© et de l’Autonomie (CRSA) et des confĂ©rences de territoires, tant sur les enjeux locaux que sur les conditions Ă  mettre en place par le PRSE n°3 pour en rĂ©ussir la territorialisation.
Il pourra Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© Ă  d’autres occasions comme outil de sensibilisation des acteurs aux enjeux bretons de santĂ© environnement, par exemple par les acteurs des contrats locaux de santĂ©.

Regarder

 

AGENDA

ÉPIDÉMIOLOGIE
VIIĂšme CongrĂšs International d’EpidĂ©miologie ADELF -EPITER – EpidĂ©miologie et SantĂ© Publique
7, 8 et 9 septembre 2016 – Rennes

ADELF-EPITERLe besoin d’utiliser les mĂ©thodes et pratiques de l’épidĂ©miologie en SantĂ© Publique s’est accentuĂ© et tout particuliĂšrement dans le domaine de la prĂ©vention oĂč rares sont les donnĂ©es probantes pourtant indispensables.
Le congrĂšs est ouvert Ă  tous les domaines de l’EpidĂ©miologie, Ă  tous leurs acteurs (reprĂ©sentants institutionnels, acteurs de proximitĂ©, professionnels ou associatifs, chercheurs) et Ă  toutes les disciplines de la recherche (mĂ©decine, santĂ© publique, sociologie, psychologie, Ă©conomie, gĂ©ographie, sciences de l’information et de la communication
).

Programme et téléchargement

 

AGENDA

SANTÉ ENVIRONNEMENT
4e JournĂ©es d’Ă©changes en santĂ© environnement « Environnement et inĂ©galitĂ©s de santĂ© : un enjeu de santĂ© publique »
22 et 23 septembre – Rennes

4-JOURNEES-SANTE-ENVIRONNEMENTL’évaluation du Plan national santĂ© environnement 2 et de plusieurs PRSE par le Haut conseil de santĂ© publique a fait le constat que la lutte contre les inĂ©galitĂ©s socioterritoriales d’exposition Ă  des risques sanitaires liĂ©s Ă  environnement est une prioritĂ© Ă  l’échelle des rĂ©gions.
À partir d’exposĂ©s de spĂ©cialistes de l’étude des inĂ©galitĂ©s sociales et/ou territoriales de santĂ©, de retours d’expĂ©riences et de tĂ©moignages sur le diagnostic de ces inĂ©galitĂ©s, les outils utilisĂ©s et les politiques mises en Ɠuvre dans les territoires, ces journĂ©es doivent permettre de dĂ©velopper la capacitĂ© des professionnels compĂ©tents en santĂ©-environnement Ă  interagir avec les autres acteurs des politiques territoriales pour les rĂ©duire.
Ces journĂ©es sont ouvertes aux personnels des ARS, des DREAL, des Services Communaux d’HygiĂšne et de SantĂ©, aux directions d’urbanisme/Ă©cologie urbaine de Villes ou CommunautĂ©s de communes, aux Ă©lus locaux, aux associations, aux bureaux d’études


Détails, programme et inscription (gratuite mais obligatoire)

 

 

AGENDA

CONDUITES ADDICTIVES
Faire avec les addictions : quelles pratiques?

8 octobre 2016 – Paris

PSICHOSOCIOLOGIEAlcool, drogues illicites, tabac, antalgiques, anxiolytiques, antidĂ©presseurs, etc., sont consommĂ©s de plus en plus et partout : de l’usine au chantier, de la finance au milieu hospitalier, du stade Ă  l’école, de la rue au milieu festif…
Mais que savons- nous du sens de ces consommations pour les multiples usagers, plus ou moins « insĂ©rĂ©s », plus ou moins « accro » Ă  ces produits et Ă  leurs fonctions ? 
Que savons-nous des hommes et des femmes, qui tentent de prĂ©venir ces usages, qui s’inscrivent dans la rĂ©duction des risques qui leur sont liĂ©s ou encore apportent des soins Ă  ceux qui en souffrent ? Que savons-nous des outils qu’ils mettent en Ɠuvre et des nouveaux dispositifs qu’ils expĂ©rimentent ? 

Ce colloque croise une pluralitĂ© d’approches (psychologie, ergonomie, sociologie, anthropologie, mĂ©decine, etc.) et interroge le sens des usages de psychotropes moins pour eux-mĂȘmes que pour rĂ©pondre aux questions soulevĂ©es par la prĂ©vention, la rĂ©duction des risques et le soin.

Programme et inscription

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